[vc_row row_height_percent= »0″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ shift_y= »0″][vc_column column_width_percent= »100″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ medium_width= »0″ shift_x= »0″ shift_y= »0″ z_index= »0″][vc_column_text]

Président des Jeunes de l’UDI, j’ai choisi Alain Juppé

Seul un projet ambitieux, équilibré et rassembleur devra guider l’action du futur gouvernement, dans le cadre d’une coalition entre le centre et la droite républicaine.

[/vc_column_text][vc_button link= »url:http%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2Faurlien-sebton%2Falain-juppe-udi-primaire%2F%3Futm_hp_ref%3Dfr-politique||| »]Lire la tribune sur le Huffington Post[/vc_button][vc_column_text]Lors du congrès du 20 mars 2016, les militants de l’UDI ont fait le choix de ne pas participer à la primaire de novembre prochain. En effet, ce vote était constitutif du refus de celui qui était encore le président de « Les Républicains », Nicolas Sarkozy, de construire un projet commun équilibré entre la formation de la droite républicaine et les centristes. Nous avions alors, collectivement décidé de ne pas participer à une primaire où l’on ne voulait que du nom des centristes comme caution d’ouverture et non pour mettre en commun des valeurs et des idées. Dès lors, Il était impossible d’être lié aux résultats d’une élection qui ne nous correspondait pas.

Toutefois, notre mouvement ne peut pas rester à l’écart d’un processus qui désignera sans doute la personne la mieux placée pour porter l’alternance et redonner de l’espoir aux Français et notamment aux jeunes, qui viennent de subir le mandat désastreux de François Hollande.

Cela fait déjà des mois que le pouvoir en place ose nous expliquer que « ça va mieux ». Qui peut le croire ? Le chômage des jeunes explose. Le chômage tout court est devenu un fait politique majeur qui creuse inexorablement le fossé entre des Français désespérés devant tant d’impuissance à leur garantir un avenir dans notre société, et un gouvernement qui n’a eu de cesse de revenir sur ses engagements et n’a pas le courage de mettre en place les réformes structurelles indispensables au redressement économique de notre pays.

Et puisqu’en politique tout se justifie, on ne nous parle plus de résultat, mais de « trajectoire ». Mais de qui se moque t-on ? La trajectoire on la connaît, c’est droit dans le mur.
On pourrait prendre beaucoup d’exemples qui illustrent la faillite de François Hollande : une croissance quasi nulle, une succession de promesses non tenues, des réformes improvisées qui ont plus que jamais résigné les Français et sapé leur confiance dans la parole publique.

Dans ce cadre, je pense qu’il y a de l’indécence chez François Hollande et ses équipes à vouloir se proposer pour un nouveau mandat.
Dès lors, l’alternance est donc devenue une nécessité absolue. Mais s’il faut un changement, il ne le faut pas en pire.
Rappelons d’abord l’évidence de l’imposture que représente le FN. Incapable d’avoir un projet viable pour la France, n’ayant comme seul argument politique d’attiser les peurs et d’opposer les Français entre eux, il promet au final un repli sur soi économique et identitaire, qui nous conduirait implacablement à une situation bien pire que celle que nous voulons redresser.
Ainsi, je suis convaincu que seul un projet ambitieux, équilibré et rassembleur devra guider l’action du futur gouvernement, et celui-là ne pourra être porté que dans le cadre d’une coalition entre le centre et la droite républicaine.
Comme je l’évoquais, le contexte politique avec une alternance à la gauche indispensable pour notre pays et la menace d’un populisme organisé par le parti frontiste nous impose de regarder les choses lucidement. Un parti unique, voire un clan, un homme providentiel peut -il incarner à lui seul la concorde et le rassemblement incontournable pour le bien de la France ? Evidemment non. Les centristes et leurs nuances internes sont-ils assez regroupés ? Avons-nous les moyens matériels de candidater seul pour concrètement exercer le pouvoir ? Malheureusement non.
Notre responsabilité est ainsi de permettre la réunion d’une équipe de sensibilités différentes mais complémentaires pour gouverner la France dans l’intérêt général, grâce un projet porteur à la hauteur des défis qui nous attendent. C’est donc logiquement, en dehors de toutes des questions d’égo que nous devons porter ce projet avec un candidat représentant la première force d’opposition républicaine.
Jusque-là, nous avons pu observer les intentions des candidats à la primaire issus du parti Les Républicains.
Il y a clairement une ligne de fracture qui est apparue. D’un côté ceux qui veulent cliver frénétiquement les Français pour mieux galvaniser leurs supporters, s’agitant à « droite toute » pour faire plaisir à un électorat qui souhaite en découdre, et de l’autre ceux qui s’inscrivent dans une démarche d’union sereine et constructive.
Comment pourrions-nous accepter, nous les héritiers de l’humanisme politique, les défenseurs d’une politique économique et sociale juste et équilibrée, d’une écologie responsable, d’apporter notre soutien à ceux qui lancent sans sourciller que l’homme n’a que peu d’impact sur l’environnement, qui réduisent la politique à sa dimension manichéenne, qui versent dans le populisme en promettant des référendums impossibles ou encore qui défendent une idée de l’identité nationale que nous ne partageons pas?
De l’autre côté il y a au moins un candidat prêt au rassemblement, au moins un homme d’État avec la hauteur de vue nécessaire pour ne pas se laisser tenter par le concours Lépine de la punchline, qui revendique la volonté d’être le Président de tous les français, un Président jouissant d’une majorité assez large pour gouverner la France, au moins une personnalité qui partage réellement les valeurs que nous défendons. Cet homme c’est Alain Juppé. Il représente l’alliage de l’expérience des plus hautes responsabilités à la modernité d’un dirigeant qui malgré son appartenance à une formation politique a su s’ouvrir concrètement à la société civile, aux centristes et aux bonnes volontés de tous bords pour diriger sa ville. Un homme d’action concrète qui a fait de Bordeaux l’une des villes les plus attractives de notre territoire. Alain Juppé ne cherche pas à être de manière égocentrique un homme providentiel, mais l’homme d’une méthode gagnante.
Il partage avec nous sur le fond la volonté d’une Europe forte, d’une politique de développement durable ambitieuse, d’une économie libérée des pesanteurs des législations actuelles, de la maîtrise des finances publiques pour casser la spirale de la dette qui pèse sur les générations futures.
C’est pourquoi j’invite avec force et conviction les jeunes centristes de mon mouvement, de ma famille politique, mais aussi toute cette génération en mal d’espérance pour l’avenir à faire campagne activement pour le Maire de Bordeaux.
Ainsi, je proposerai à tous les responsables et militants de notre mouvement de jeunesse de participer, de voter et faire voter à cette élection.
La primaire a ceci de vertueux qu’elle nous permet de ne pas subir le choix du candidat d’un parti mais de participer activement à un processus démocratique ouvert. Il est de la responsabilité de chacun de s’emparer de sa citoyenneté pour faire le choix de son futur.
Cette primaire est ouverte à tous, que tous s’en emparent.
Les 20 et 27 novembre mobilisons-nous pour notre avenir, votons Alain Juppé.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]