[vc_row row_height_percent= »0″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ shift_y= »0″][vc_column column_width_percent= »100″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ medium_width= »0″ shift_x= »0″ shift_y= »0″ z_index= »0″][vc_column_text]
Dans moins de trois semaines, la primaire de la droite et du centre ouvrira ses bureaux pour le premier tour, afin de désigner le candidat de la droite à l’élection présidentielle. Si tous les candidats sont issus du parti Les Républicains, l’UDI a décidé de faire entendre sa voix (et son choix) dans cette campagne électorale.
[/vc_column_text][vc_button link= »url:http%3A%2F%2Fwww.lejdd.fr%2FPolitique%2FHenart-Juppe-refuse-de-chasser-sur-les-terres-du-FN-et-ca-convient-aux-radicaux-816658||| »]Lire l’article sur Pyrénées Infos[/vc_button][vc_column_text]A l’image du président national Jean-Christophe Lagarde, le président de l’UDI des Hautes-Pyrénées a confirmé le choix d’Alain Juppé. « Ça reste la Primaire organisée par Les Républicains. On n’est pas directement concerné. Mais on a décidé de s’en mêler. On sait que nos alliances naturelles sont avec Les Républicains et demain, on aura à négocier avec le futur candidat autour d’une proposition commune », explique Gilles Craspay.
Car l’UDI avait trois choix : participer à la primaire de la droite et du centre en présentant un candidat, présenter directement un candidat à la Présidentielle ou soutenir le candidat des Républicains. Mais pour éviter d’être confronté à un candidat non désiré, le parti centriste préfère soutenir le maire de Bordeaux.
« Alain Juppé, c’est un soutien de compromis. Car Nicolas Sarkozy pose un problème de compatibilité », rappelle Gilles Craspay.
Les militants et sympathisants de l’UDI (et ses différents partis associés) seront donc appelés à participer à la primaire, en se rendant aux urnes le 20 novembre prochain. Ce qui pourrait peser sur le résultat en fonction de la mobilisation des électeurs.
En attendant le résultat du scrutin…[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]